Ils n’auront rien pour dîner ce soir, votre livre était plus important. Je viens de le finir et je pense que vous êtes en train de devenir mon écrivain préféré. Bravo pour ces idées originales et très diversifiées. Merci pour ce bon moment.

Les histoires d’Amour finissent toujours mal en général… « Rita Mitsouko ». Pourtant Julie y croyait vraiment et le lecteur aussi.
Le suspense perdure tout-au-long du récit, de la première à la dernière page.
Un enchaînement d’événements heureux et malheureux avec une tornade finale déclenchée par Carole qui permettra à Julie d’intégrer que l’issue ne sera jamais celle qu’elle désirait.
Une très belle expression écrite de l’Amour Passion, des sentiments qu’il suscite et de l’aveuglement qu’il peut provoquer.
Merci à Marie- Claude pour avoir décrit cette situation avec tant de talent.
Le cœur des lecteurs palpite.

Comment rester sobre et s’attacher l’intérêt du lecteur tout en étant élégant, c'est le pari que réussit Marie-Claude Cassegrain dans son nouveau roman 'L'Improbable complicité'.
L’écriture de Marie-Claude Cassegrain, en dépit d’une grande rigueur grammaticale, est très fluide et donc très agréable à lire. Les petits coups de théâtre s’enchaînent avec adresse. On sent déjà la maîtrise ! Le choix du mot pour décrire une situation ou un sentiment est toujours le plus approprié.

L'auteur raconte, dans un court roman (161 p.), la folle passion qu'elle a vécue (par procuration évidemment), il y a une vingtaine d'années, avec un collègue de travail marié, et qui va bien au-delà de la complicité suggérée par le titre. Les 2 amants vont vivre les hauts et les bas de cette relation amoureuse et surtout de ce ménage à trois.
Les 20 dernières pages présentées comme une 2ème partie en déséquilibre, fait plutôt penser à une postface, et donne l’occasion de terminer sur une note réjouissante et sur une complicité bien probable cette fois.
L'écriture se fait à 3 niveaux : 1) le récit lui-même que l’auteur nous délivre à la 3ème personne 2) des extraits de son journal intime de l’époque, avec un style peut-être un tout petit peu trop sophistiqué pour ce type de document 3) enfin les commentaires sur le journal en question.
Ces allers-retours, aussi bien dans la relation amoureuse elle-même que dans la plume de l’auteur, non seulement n’enlèvent au récit ni sa spontanéité ni son rythme (on le lit d’un trait), mais au contraire enrichissent l’analyse psychologique à laquelle Marie-Claude Cassegrain excelle.
L’écriture de Marie-Claude Cassegrain, en dépit d’une grande rigueur grammaticale, est très fluide et donc très agréable à lire. Les petits coups de théâtre s’enchaînent avec adresse. On sent déjà la maîtrise ! Le choix du mot pour décrire une situation ou un sentiment est toujours le plus approprié.
Après ‘Un camaïeu de gris et de beige’ et ‘Ca tourne pas rond dans le carré’, récit et pièce de théâtre tous deux situés dans un milieu très bourgeois, on a hâte que Marie-Claude Cassegrain mette son énergie et sa maîtrise de l’écriture au service de nouveaux sujets, qu’ils soient sociaux, culturels, historiques, scientifiques, géographiques, que sais-je ? qui, au-delà des éternels conflits passionnels, nous ‘enrichiraient’ sur l’un ou l’autre aspect. Pourquoi pas une aventure autour du Dakar dont Marie-Claude Cassegrain a l’expérience et dont le déroulé quotidien nous échappe ?
En attendant, ‘L’Improbable complicité’ constitue un très bon livre de week-end ou de vacances que je vous recommande chaudement, même avec la météo actuelle.

Chantal C.
Je l’ai pratiquement lu d’une traite
J’ai beaucoup aimé.
C’est écrit dans un style très limpide ; ce livre je l'ai lu pratiquement d'une traite .
Je crois que beaucoup de femmes qui liront ce livre vont pouvoir s'identifier dans votre personnage . Vous avez un vrai talent et j'attends avec impatience votre 3 ème roman .